Durée du séjour:
14 jours (05-18 mars 2018)
Distance parcourue:
881 km
Coût moyen par jour:
106 $ CAD
Les 5 coups de cœur
- Le safari aura coûté cher, mais les animaux étaient au rendez-vous. L’investissement a été rentabilisé. Nous repartons avec de beaux souvenirs.
- Les Kényans sont très chaleureux et avenants. Les éclats de rire ne sont jamais loin. Quelle belle cure de bonne humeur.
- Après six mois de planifications, nous aurons eu le droit à une pause au Kenya. Que ce soit pendant le safari ou au camp, nous avons été complètement pris en charge. Merci, ça fait du bien.
- Nous nous attendions à trouver de grandes étendues sèches avec quelques acacias de-ci de-là, nous avons vu des paysages de terre ocre et de végétation verdoyante. Magnifique.
- Pour une des rares fois de notre voyage en couple, nous nous sommes intégrés à un groupe avec un bel esprit de communauté. Merci pour le partage et les fous rires.
Les 5 ‘si on avait su’
- Nous serions venus quinze jours plus tôt pour éviter le début de la saison des pluies et contempler un peu plus ces superbes ciels étoilés ou bien plus tard pour assister à la grande migration des gnous au mois de juillet.
- Nous aurions prévu un espace dans nos bagages pour quelques dons aux enfants et aux coureurs du coin.
- Nous aurions passé plus de temps au camp afin de pouvoir nous impliquer dans un des nombreux projets.
- Quand il s’agit de vols internes au pays, il faut identifier son vol idéal puis réserver celui d’avant. C’est la meilleure façon de gérer les retards et annulations systématiques.
- Avec un meilleur appareil photo, nous aurions ramené de superbes images de ces guépards allongés au loin ou de ce léopard tapi sous un buisson pour manger son phacochère.
Et la course alors?
- Le Kenya restera bien entendu LA destination de course du voyage. Les enfants, les champions, les athlètes à l’entraînement ou les pensionnaires du camp, tout vibre au son de la course à la « Source of champion »
- Après six mois de voyage, nous sommes arrivés dans le bon timing pour participer au Rift Valley marathon et vivre une expérience unique.
- Le terrain de terre ocre était très agréable pour courir tant qu’il n’était pas trop détrempé. Après quelques jours de pluie, ça collait beaucoup aux chaussures. Le sol devenait aussi glissant que la glace montréalaise.
- L’entraînement en altitude était une expérience nouvelle pour nous. Il faut revoir ses référents quand le cœur s’emballe pour un rien, mais quelle belle mise à l’épreuve.
- Le Rift Valley Ressource Center, sait récompenser les coureurs de leurs efforts avec ce superbe espace face à la vallée du rift pour la séance d’étirement post-course.
Photos
Nos articles au Kenya
High spirit
La veille de notre arrivée dans la campagne de Mosoriot, nous avons reçu ce message de John : « Our camp construction was delayed by a month so the accommodations are a bit rough but our spirits are high. » Autant dire qu’après 5 mois de voyage dans des conditions...
Un safari en fractionnés
Quatre jours de safari, quatre jours de voiture, quatre jours de nature, quatre jours à attendre, quatre jours à vitesse variable. Accélération - À peine sortie de l’avion, nous prenions la direction du Massai Mara...
Nos courses au Kenya
17/03/2018, Rift Valley Marathon, 21km
Un parcours challengeant, de la boue par endroit, des dizaines d'athlètes de niveau mondial tous venus pour gagner, quelle expérience. Aucune chance pour nous les "muzugou" de rivaliser alors il ne reste plus qu'à apprécier le moment autant que possible....
10/03/2018, Mosoriot, 16km
Quel bonheur de s’entraîner à Mosoriot, "the source of champions". Nous aurons eu dix jours pour tenter de nous acclimater à l'altitude, essayer de maîtriser notre rythme cardiaque et courir dans la glaise. Chaque matin, les enfants nous accompagnent...
